Megan R. Gunnar
À Propos
Les recherches de Megan Gunnar portent sur les effets de la privation tôt dans la vie sur le développement social et émotionnel des enfants.
Son groupe de recherche explore ce domaine en observant l’effet d’avoir grandi dans un orphelinat chez les enfants qui y ont été adoptés, et l’effet sur des enfants d’avoir grandi dans des conditions similaires. Lorsque c’est possible, les chercheurs comparent aussi les enfants qui ont grandi en orphelinat à ceux qui ont grandi dans leur famille d’origine où il y a eu négligence.
Le concept de l’« intériorisation biologique », élaboré par le programme Développement humain qui fait maintenant l’objet d’études plus approfondies dans le programme Développement du cerveau et de l’enfant a mené à l’intérêt qu’elle porte aux situations de privation précoce. Ses travaux ont pour objectif de comprendre comment et si les premières expériences de privation modifient la façon dont un enfant traite l’information sociale et influencent la sensibilité de systèmes physiologiques sensibles au stress.
Prix
- Contribution scientifique distinguée au développement de l’enfant de la SRCD, 2009
- Prix G. Stanley Hall pour contributions distinguées à la psychologie du développement de l’APA, 2006
- Professeure distinguée McKnight, 1996
- Professeure Wallace d’enseignement et d’apprentissage au College of Education, 2002-2005
Publications Pertinentes
- Hostinar, C.C. et M.R. Gunnar. « Future directions in the study of social relationships as stress regulators across development. » J. Clin. Child Psychol. 42, no 4 (2013): 564–75.