William H. Sewell
La nomination
Membre
Bien-être collectif
À Propos
William Sewell est historien. Dans ses recherches, il se penche sur deux domaines distincts : l’histoire de l’Europe moderne ancienne et de l’Europe moderne, et la relation entre l’histoire et la théorie sociale.
Ses recherches historiques empiriques portent sur l’histoire sociale, ouvrière, politique et culturelle de la France, particulièrement pendant les révolutions de 1789, 1830 et 1848. Il travaille actuellement sur la relation entre le capitalisme du 18e siècle et les origines culturelles de la Révolution française. Au cours des quinze dernières années, la plupart de ses publications et de ses cours ont porté sur le développement d’un vocabulaire théorique qui évoque simultanément l’histoire et les autres sciences sociales.
Prix
- Président, Social Science History Association, 2012
- Meilleur livre en théorie sociologique, section théorie, American Sociological Association, 2008
- Membre de l’American Academy of Arts and Sciences, 2004
Publications Pertinentes
- Sewell, W. « Liensing Capitalism to the French Revolution: The Parisian Promenade and the Origins of Civic Equality in Eighteenth Century France. » Critical Historical Studies 1 (2014): 5–46.
- Sewell, W. « Economic Crises and the Shape of Modern History. » Public Culture 24 (2012): 303–27.
- Sewell, W. « The Temporalities of Capitalism. » Socio-Economic Review 8 (2008): 517–37.
- Sewell, W.H. Jr. Logics of History: Social Theory and Social Transformation. Chicago: University of Chicago Press, 2005.
- Sewell, W. « A Theory of Structure: Duality, Agency, and Transformation. » Am. Journ. Sociology 98 (1992): 1–29.
- Sewell, W.H. Jr. A Rhetoric of Bourgeois Revolution: The Abbé Sieyes and « What Is the Third Estate? » Durham, NC: Duke University Press, 1994.
- Sewell, W.H. Jr. Structure and Mobility: The Men and Women of Marseille, 1820–1870. Cambridge: Cambridge University Press, 1985.
- Sewell, W.H. Jr. Work and Revolution in France: The Language of Labor from the Old Regime to 1848. Cambridge: Cambridge University Press, 1980.