Détails de l'Événement

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La chimie est l’une des plus anciennes quêtes scientifiques de l’humanité, tandis que l’informatique quantique et l’IA (intelligence artificielle) sont des domaines émergents qui pourraient changer le monde. Leur association mène à une innovation perturbatrice.

Grâce à ses recherches au croisement de l’informatique quantique, de la chimie et de l’apprentissage automatique, Alán Aspuru-Guzik trace une nouvelle voie d’innovation dans les domaines de la robotique, des énergies renouvelables et de l’IA.

Coût : Gratuit

 

Alán Aspuru-Guzik est titulaire de bourse Lebovic au sein du programme Énergie solaire bio-inspirée du CIFAR, titulaire de chaire en IA Canada-CIFAR à l’Institut Vecteur, titulaire d’une bourse Massey et professeur au département de chimie et d’informatique de l’Université de Toronto où il dirige le Consortium d’accélération, lequel met sur pied des laboratoires autoguidés qui allient la science des matériaux à la puissance de l’intelligence artificielle, de la robotique et de l’informatique avancée, notamment quantique, afin de concevoir et de mettre à l’essai rapidement de nouveaux matériaux et de nouvelles molécules.

 


Alec Krawciw, Aditi Maheshwari et Alexandra Martin, trois jeunes boursiers du Collège Massey, participeront à la discussion.

Alec Krawciw est étudiant à la maîtrise en génie aérospatial à l’Université de Toronto. Ses recherches portent sur le recours à l’IA pour améliorer la navigation prolongée des véhicules autonomes. Originaire de Victoria, en Colombie-Britannique, il a fait ses études de premier cycle en génie mécanique et logiciel à l’Université de Victoria. À l’avenir, il espère appliquer ses recherches à la prochaine génération de véhicules canadiens d’exploration spatiale.

 

Aditi Maheshwari fait actuellement une maîtrise en génie informatique à l’Université de Toronto. Elle a obtenu un diplôme de premier cycle en génie avec une spécialisation en robotique et une mineure en IA. En tant qu’apprenante à vie, elle aime participer à des défis de conception qui ont un impact social, ce qui la motive à élargir ses connaissances et ses compétences. Elle souhaite à l’avenir approfondir sa compréhension des problèmes interdisciplinaires et mettre ses forces au service de l’avancement de la société.

 

Alexandra Martin est doctorante au département de science politique de l’Université de Toronto. Ses recherches portent sur le développement d’une généalogie de l’« explicabilité » de la gouvernance des systèmes d’IA dans le contexte euroatlantique. Sur le plan professionnel, elle est analyste politique au sein du centre d’intelligence artificielle du gouvernement fédéral où elle a soutenu les discussions de citoyens sur l’éthique de l’IA et participé aux négociations pour la formation du Partenariat mondial sur l’IA, une initiative du G7 et de l’Organisation de coopération et de développement économiques.